Passer le cap des 30 ans pour une femme : Comment affronter cette nouvelle étape ?

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Dans la vie de tout un chacun, il y a des moments importants qui marquent les transitions entre chaque étapes. Passer le cap des 30 ans est l’un d’entre eux et représente souvent un moment plus difficile à gérer pour les femmes. Dans cet article, nous verrons comment passer sereinement ce passage et profiter pleinement de cette nouvelle vie.

Se sentir bien dans sa peau

Rejoindre officiellement la trentaine est souvent synonyme de remise en question. Les questions sur son corps, ses ambitions professionnelles, sa sexualité et sa vie amoureuse surgissent alors et peuvent parfois être angoissantes. La première chose à faire est donc de s’aimer malgré les imperfections car rien n’est plus important que d’être bien dans son corps et dans sa peau. Il faut également être consciente que toutes les personnes traversent ce genre de transition et qu’il ne faut pas rester isolée. On peut donc discuter avec des amies ou même aller consulter si cela devient trop compliqué.

Trouver un emploi stable

Le travail occupe une part prépondérante dans notre existence et trouver un emploi stable peut être très satisfaisant. Cela permet de réussir financièrement, de gagner en confiance en soi et de s’épanouir personnellement. Pour trouver sa voie, la méditation peut se révéler très utile. Prendre le temps d’y réfléchir et se poser les bonnes questions permettra de déterminer la branche qui nous convient le mieux. Il est également possible de demander conseils autour de nous et ce n’est pas parce qu’on est âgée qu’il ne faut pas prendre le temps de se former.

Prendre du temps pour soi

Entre l’emploi et les obligations familiales, on a tendance à oublier de prendre du temps pour soi. Pourtant, c’est primordial pour se relaxer et profiter des petits plaisirs de la vie. Les activités qui permettent de mieux se connaître peuvent être très variées : lecture, balade, yoga, cuisine ou encore jardinage.

Créer un cercle d’amis

Les amitiés sont très importantes pour faire face aux turbulences de la vie. Ceux-ci apportent le soutien et les encouragements dont on a besoin et les conversations peuvent nous changer le moral. Les rencontres sont souvent possibles grâce aux réseaux sociaux ou en allant à des événements spéciaux mais rien ne remplace le contact humain.

Profiter de la vie

Trop souvent, on oublie de savourer le moment présent et de profiter de la vie. En acceptant de passer le cap des 30 ans, on peut donc profiter de ce temps supplémentaire pour explorer, apprendre de nouvelles choses, voyager et s’amuser. L’important est d’utiliser consciemment cette période pour trouver le bonheur et l’équilibre afin que les années futures soient source de joie et de satisfaction. En passant le cap des 30 ans, les femmes auront la possibilité de retrouver confiance en elles et de s’offrir une nouvelle liberté. Avec une meilleure connaissance de soi, une stabilité financière et des relations amicales fortes, on aura alors la possibilité de se sentir bien et de profiter pleinement de la vie.

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13 Comments

  • Caroline

    3 avril 2019

    je me reconnais tellement dans ce que tu décris. mon mari aussi aimerait que je sois plus « dépendante » de lui 🙂 et ces émotions en montagnes russes, c’est difficile à gérer. Il y a une chose que je réalise depuis qq temps, et je m’informe sur le sujet, c’est aussi l’importance de notre cycle de femme. En observant bien,on peut dénoter que nous traversons des émotions différentes au cours de notre cycle et souvent similaires à chaque fois. Le connaitre ca aide aussi a l’accepter!

    • Mélimélanie

      9 avril 2019

      J’avoue qu’étant sous hormones je ne me préoccupe pas trop de mon cycle. Je considère que la prise de la pilule limite quand même ce genre de changement d’humeur. Et malheureusement je suis toujours aussi susceptible peu importe le moment de mon cycle 😀

  • Colombine

    3 avril 2019

    Contrairement à toi, j’ai adoré mon enfance et je n’avais pas forcément envie de grandir/vieillir. Je n’avais d’ailleurs pas vraiment d’attentes particulières. Je voulais faire mon métier de rêve (bibliothécaire) et être mariée et pas forcément avoir d’enfant. Et à 30 ans, mon métier était dû au hasard et cela ne faisait que 18 mois que j’étais avec Mon Chéri, ma plus longue relation. Bref, pas l’extase et j’ai assez mal vécu ce passage à la trentaine.

    Là je vais avoir 40 ans et les choses me semblent plus simples : mon métier dû au hasard me correspond finalement très bien et j’ai envie d’y évoluer, je suis mariée. Et si je n’ai pas encore d’enfant, la famille que nous formons avec Belle-Fille est plus que je n’aurais espéré.

    Et pour ma part, ce n’est pas l’hypersensibilité mais le stress qui me pourri la vie : ta phrase « Alors mon prochain défit sur cette dizaine c’est d’essayer d’apprendre à vivre avec » me parle beaucoup !

    • Mélimélanie

      9 avril 2019

      Quand j’en parle autour de moi je réalise qu’avoir détesté son enfance n’est effectivement pas la norme (et c’est pas plus mal).

      J’avoue me dire que j’ai énormément de chance de pouvoir en être là a 30 ans. Mon travail, ma famille, ma maison, mes amis. Parfois je me demande si je ne vais pas violemment me prendre un revers. Ma vie n’est pas parfaite. Il y a des hauts et des bas. Mais le bonheur qu’elle m’apporte est tellement élevée que j’ai peur de ce qu’on pourrait me reprendre.

      Je te souhaite de réussir ton challenge de gestion de stress pour cette prochaine dizaine. Si tu as un coup de mou tu sais que tu peux venir m’en parler ;-). qu’on s’aide entre « challengeuse »

  • El

    3 avril 2019

    Indépendance et sens aigu de la justice ? Hum… ton article m’a parlé, jusqu’à ce que je lise le mot qui explique beaucoup : hypersensibilité. Comme toi, je suis hypersensible. Pas encore la trentaine, je l’ai compris très récemment. Comme toi, je travaille dans un monde d’hommes pas toujours très compréhensifs (« oh, elle est trop sensible, il faut qu’elle s’endurcisse… »)
    Et tout comme toi, j’essaie d’apprivoiser ces émotions hyper présentes, car au delà de mettre des difficultés sur notre manière de vivre les choses au quotidien… c’est une FORCE ! (dieu merci, tu l’évoques aussi par cette phrase en fin d’article).

    Oui, nous sommes de celles qui peuvent nous émouvoir d’un soleil qui décline, entre les immeubles, sur le chemin du retour à la maison.
    Oui, nous sommes de celles qui sont capables d’écouter, de saisir, de capter les signaux faibles de nos collègues.
    Oui, nous vivons les petits bonheurs puissance 10 – et c’est AUSSI une vraie chance de pouvoir kiffer la vie à ce point !

    Dans ton cheminement, je te recommande le livre « Hypersensibles, mieux se comprendre » d’Elaine Aaron. Un cadeau à soi-même pour mieux s’apprivoiser 🙂 (c’est mon livre thérapie du moment – même si je déteste ce terme)

    Je salue ton big up à ces femmes qui nous font payer leurs difficultés passées, au lieu de tendre la main…

    Belle prochaine décennie à toi ! (cela se sent, tu le mérites)

    • Mélimélanie

      9 avril 2019

      Ton message m’a énormément touché! Merci!

      Je prend bien note du livre que tu me conseilles!

      Je te souhaite un très beau passage à la trentaine et que tu continues à vivre tous ces petits bonheurs du quotidien avec aucun d’intensité!

  • Doupiou

    4 avril 2019

    Moi aussi j’ai très bien vécu mon enfance ! Contrairement à toi j’avais beaucoup de mal à me projeter à la trentaine. Du coup je suis assez surprise de rentrer dans ma dernière année de vingtaine en étant déjà mariée, doublement maman et propriétaire !

    • Mélimélanie

      9 avril 2019

      Heureusement il est plus fréquent de bien vivre son enfance que l’inverse!

      Tu as été surprise dans le bon sens alors! Tu es prête pour la trentaine épanouie!

  • Virg

    5 avril 2019

    Je me retrouve bien dans toutes tes réactions, pourtant, j’appelle ça être entière et je le vis très bien. Je ne vois pas où est le mal. Seulement en vieillissant, mes réactions sont les mêmes mais moins violentes. Surtout, je me force toujours à verbaliser ce que je ressens : je suis choquée, je suis heureuse, c’est super beau ce ciel tu as vu ? Ça m’énerve, je suis en colère, fatiguée, dépitée, déçue, vexée, etc. La palette des adjectifs est suffisamment grande. Je te le conseille, les autres le vivent mieux ?

    • Mélimélanie

      9 avril 2019

      Le problème c’est que mes réactions ne sont pas moins violentes avec l’âge (je dirais même qu’elle s’empire maintenant que je sais que ce n’est pas juste de l’immaturité).
      Et même en verbalisant beaucoup les autres ne comprennent pas forcément beaucoup mieux pourquoi je « sur-réagit » comme ça. Même si je suis capable de donner pleins d’arguments et d’adjectifs sur les raisons de mon état.

      • Virg

        9 avril 2019

        Non mais ils ne font aucun effort pour comprendre aussi ! ?

  • Flo

    5 avril 2019

    <3

    • Mélimélanie

      9 avril 2019

      <3 <3

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