Un soleil radieux, des rires d’enfants qui résonnent, une journée qui s’annonçait parfaite pour la famille Martin à Walibi. Mais l’insouciance se transforme en un moment de terreur pure lorsque leur petit garçon de trois ans disparaît soudainement dans la foule. Accompagnez-moi à découvrir comment une sortie enchantée s’est métamorphosée en un véritable cauchemar.
Une journée ensoleillée à Walibi
Un mardi après-midi, sous un ciel clair et lumineux, la famille Martin avait choisi de profiter d’une journée à Walibi, espérant créer des souvenirs joyeux ensemble. Avec ses parents et son frère aîné, Baptiste, un petit garçon de trois ans originaire de La Bruyère en province de Namur, était particulièrement excité. La famille, complice, riait et partageait des moments de complicité, ignorant que la journée prendrait une tournure tragique.
L’accident impensable
Alors que la journée touchait à sa fin, le groupe marchait sur le parking du parc pour regagner leur voiture. C’est à ce moment-là que l’inimaginable est survenu. Une voiture, conduite par un homme de 41 ans également de Namur, a accidentellement percuté le petit Baptiste. La scène, qui s’est déroulée rapidement et sous les yeux horrifiés de sa famille, a plongé le parking dans un silence de stupeur.
L’intervention immédiate et les conséquences
Les secours ont été rapidement appelés sur place et Baptiste a été transporté d’urgence à l’hôpital d’Ottignies. Malgré les efforts des médecins, le tragique verdict est tombé : Baptiste a succombé à ses blessures. L’annonce de son décès a été un coup dévastateur pour sa famille et pour la communauté de La Bruyère, d’autant plus que la mère de Baptiste est une figure bien connue localement en tant qu’institutrice primaire à l’école communale de Meux.
L’émoi au sein de la communauté éducative
Le drame a ébranlé toute la communauté de Meux, en particulier l’école où Baptiste était scolarisé et où sa mère enseigne. Le bourgmestre de La Bruyère, Yves Depas, a exprimé son choc et sa peine, affirmant que toute la ville était sous le choc et que le soutien psychologique serait une priorité pour les enfants et le personnel de l’école. « Il sera crucial de trouver les bons mots pour répondre aux questions des enfants et soutenir les collègues de la maman en cette période difficile », a-t-il précisé.
Les démarches judiciaires
À la suite de l’accident, un expert judiciaire et un médecin légiste ont été mandatés par le parquet pour évaluer les circonstances exactes de l’accident. Le conducteur du véhicule a été testé pour l’alcoolémie, résultant négatif, indiquant qu’il n’était pas sous l’influence de l’alcool au moment de l’accident.
Tandis que les procédures judiciaires progressent, la communauté de La Bruyère et l’école de Meux restent unies dans le deuil, rappelant l’importance de la vigilance et de la prudence, même dans les moments de joie et de détente.