La douce brise méditerranéenne semblait caresser les rues de Nice ce jour-là, mais l’ombre d’une tragédie planait. Un cri strident déchira le silence, révélant un spectacle aussi étonnant que déconcertant. L’enfant brûlé de Nice, une énigme brûlante au cœur de la cité azuréenne, allait bientôt dévoiler des secrets insoupçonnés, plongeant chacun dans l’étonnement et l’interrogation.
Un drame familial sous les projecteurs
Imaginez un théâtre sombre, un public captivé et une tension palpable, tricotée de silences et de dialogues tranchants. C’est ce qui attend les spectateurs niçois les 27 et 28 février 2025, lorsque la metteure en scène Noëmie Ksicova présentera sa nouvelle pièce adaptée de l’œuvre du romancier suédois Stig Dagerman. Intitulé « L’Enfant Brûlé », le spectacle promet de dévoiler les ardentes vérités d’un drame familial qui va bien au-delà de ce que les simples mots peuvent transmettre.
Le contexte d’une oeuvre puissante
Au cœur de cette pièce, nous découvrons Bengt, un jeune homme de vingt ans, enfermé dans le deuil après le décès brutal de sa mère. La pièce explore les profondeurs de son désespoir qui se transforme progressivement en violence. Face à la nouvelle relation de son père, Bengt se trouve plongé dans une descente aux enfers, illustrant comment sa souffrance se consume en rage destructrice. Cette adaptation ne se contente pas de narrer une histoire ; elle sonde les méandres de la mémoire et du regret, faisant de la scène un lieu de « consolation et de réparation ».
Une distribution qui promet de captiver
La distribution de la pièce compte des talents tels que Lumîr Brabant, Vincent Disent, et Théo Oliveira Machado, accompagnés par Cécile Péricone et un chien nommé Mésa. Le décor est complété par la voix envoûtante de Sébastien Eveno, promettant ainsi un ensemble qui donnera vie avec intensité et finesse aux mots de Dagerman.
La surprise de la mise en scène
Noëmie Ksicova, connue pour son approche délicate et nuancée du théâtre, promet une mise en scène où les mots de Dagerman prennent une forme presque tangible. Sa dernière entreprise théâtrale offre une interprétation où “l’ellipse suggère plus qu’elle ne montre”, invitant le public à plonger dans un univers où les non-dits sont aussi puissants que les dialogues exprimés. L’utilisation judicieuse de l’espace scénique et des pauses, enrichit l’atmosphère tendue et chargée d’émotion qui définit « L’Enfant Brûlé ».
Les dates à ne pas manquer
Pour ceux qui sont tentés par une soirée de théâtre qui promet d’être à la fois bouleversante et enrichissante, les représentations auront lieu le jeudi 27 février et le vendredi 28 février à 20h00. C’est une occasion unique de voir comment un drame familial peut se transformer en une œuvre d’art captivante et réfléchie, qui invite chacun à explorer les thèmes universels de la perte et de la rédemption.
Note : Les billets sont disponibles à la vente dès maintenant et on s’attend à ce que les places soient rapidement épuisées étant donné l’anticipation autour de cette adaptation.