Conseils à mes neveux et nièces : éviter les pièges en entreprise

Collègues à table

La dernière fois, j’avais entamé une série de conseils sur la vie en entreprise destinés à mes neveux et nièces. Aujourd’hui, je la termine, en m’intéressant tout particulièrement aux difficultés qu’on peut rencontrer dans sa vie professionnelle…

Sois réactif, reste en mouvement

Le monde bouge en permanence, et le monde de l’entreprise, c’est un peu pareil. Tout peut changer vite et il est important de se montrer dynamique, motivé, volontaire, et même « proactif ». C’est un mot que tu découvriras bientôt et que tu entendras régulièrement dans ta carrière.

Les patrons n’aiment pas les mollassons, les blasés de la vie et les nonchalants : il n’y a pas beaucoup de place pour eux. Encore une fois, fais attention à l’image que tu donnes de toi-même.

Évite de donner un avis trop personnel

… et notamment l’opinion que tu te fais de tel ou telle collègue ou supérieur. Trouve des formules positives, attarde-toi sur les résultats ou les qualités de la personne, reste vague, voire refuse de répondre si besoin, mais ne critique pas les gens devant d’autres gens. Entre collègues, on ne peut pas s’accorder la même confiance qu’entre meilleurs amis. Tu ne peux pas tout leur dire.

Ce que tu penses de quelqu’un peut être fortement influencé par le comportement ou la position hiérarchique de cette personne par rapport à toi. Un autre collègue la trouve peut-être charmante, très pro, efficace ou très bonne dans la gestion de son budget de fonctionnement. Il la voit sous un éclairage différent du tien, et son opinion en est toute autre.

Tout ce que tu diras pourra un jour être retourné contre toi (comme dans les séries américaines !), et tu ne voudrais pas que ça se produise. Tout le monde n’est pas un chacal, mais parfois, les intérêts professionnels (d’avancement, de carrière ou autres) peuvent surpasser les intérêts humains. Les gens peuvent te surprendre, donc ne leur donne pas trop de moyens de te causer du tort.

D’autre part, si tu critiques Paul devant Pierre, Pierre qui t’écoute parler se demande peut-être en quels termes tu parles de lui à Paul, quand il a le dos tourné. Critiquer des collègues peut plus souvent te desservir que te servir.

Collègues à table

Crédits photo (creative commons) : Highway England

Les infos confidentielles doivent rester confidentielles

Les projets qui sont en cours n’aboutissent pas toujours. Il y a des milliards de raisons qui peuvent justifier un non-aboutissement de projet. Il vaut donc mieux attendre qu’il se concrétise avant d’annoncer un scoop partout. Si tu ébruites une idée qui finit par être abandonnée, ta crédibilité peut s’en trouver entachée. Comme je dis souvent : « Tant que ce n’est pas fait, ce n’est pas fait. »

Si tu veux vraiment parler d’un projet dont tu as eu connaissance, ne sois pas trop pressé et ne dévoile pas tous les détails tout de suite. Tu peux rester vague, ou faire patienter ton auditoire avec des formules telles que : « À ce stade, il reste plusieurs points à finaliser », « C’est encore confidentiel, mais vous en saurez plus bientôt », « Ça suit son cours ». Si les gens insistent, ne te laisse pas soutirer les infos, surtout si la personne est soudain super gentille avec toi lorsqu’elle te pose des questions.

De même, si tu poses des questions et qu’on te répond par une de ces formules, nul besoin d’insister. Si tu veux vraiment essayer de comprendre quelle direction les choses sont amenées à prendre, tu peux ouvrir grand les yeux et les oreilles pour faire tes propres recoupements.

Accommode-toi des gens, même si tu les trouves cons

Dans ton parcours, tu croiseras un certain nombre de gens, et certains d’entre eux te sembleront peut-être cons. C’est humain : on ne peut pas aimer tout le monde. Certains te relancent toutes les cinq minutes, sont particulièrement hypocrites en présence de grands chefs, te coupent la parole en réunion… ils sont partout !

Un de mes collègues, les jours où ses affaires ne se passent pas comme il aimerait, déclare toujours : « On a déjà reçu les cons de la semaine prochaine ! » Ça peut aussi être les cons du mois prochain, ou carrément de l’année prochaine, selon la gravité de la situation. Sa formule me fait bien rire, surtout quand je visualise la livraison d’une palette avec un groupe de cons attaché dessus… Et pourtant, certains jours, tu as vraiment l’impression que c’est le cas.

Pour mettre les choses en perspective, dis-toi qu’on est toujours le con de quelqu’un. Peut-être qu’il y a aussi des gens qui déplorent certaines choses de ta part. On a toujours besoin d’un plus con que soi.

Souviens-toi de ne pas crier sur tous les toits que tu trouves telle personne super conne. Qui sait, peut-être qu’on te proposera un nouveau poste et que tu te retrouveras dans le même service ? Peut-être que tu deviendras son/sa chef ? Ou peut-être qu’un jour, ce con te sauvera la mise, et que ton regard sur lui changera. La vie est pleine de surprises.

Dépense moins que ce que tu gagnes

Mon collègue me répète régulièrement qu’il est important de dépenser moins d’argent que ce que l’on gagne. Il le tient de sa grand-mère, et même si je suis un peu dépensière, je sais qu’il a raison. À mon tour de passer le mot.

Tu te souviens d’avoir étudié La Cigale et la Fourmi, de La Fontaine ? Eh bien, c’est pareil : on ne sait pas toujours de quoi demain sera fait. Peut-être que tu auras des dépenses de santé à avancer, une caution d’appartement à débourser, un meuble ou un lave-linge à changer, une voiture à faire réparer… Les grosses dépenses peuvent être aussi diverses qu’imprévisibles.

Si tu n’as aucune idée du type de galère qui peut, demain, te tomber sur le coin du nez (parfois, il y en a même plusieurs en même temps !), épargne quand même, au moins un peu, et dans la limite de tes capacités. Tu seras toujours content de trouver cette somme si un projet d’achat immobilier arrive, ou dans des tas d’autres cas.

Le monde est petit : sépare-toi sans te fâcher

Tu seras amené à être en contact avec beaucoup de personnes : des collègues, des fournisseurs, des clients, des partenaires et des homologues.

Parfois, tu n’apprécies pas leur façon de procéder, ou tu trouves que ton fournisseur se moque carrément de toi, avec ses tarifs qui augmentent. Si tu décides de stopper une collaboration, fais-le élégamment. Ne te fâche pas, explique que vous ne travaillerez plus ensemble, sans accuser ni insulter personne.

Le monde est petit, beaucoup plus qu’on ne se le figure. Imagine que ton contact chez le fournisseur change de poste et intègre une entreprise qui propose des solutions plus compétitives : vous pourriez avoir l’occasion de reprendre une collaboration ensemble. Imagine que telle personne a un conjoint qui se trouve être un de tes amis personnels ou un ami d’ami, et que vous vous rencontriez en soirée, sur un salon professionnel ou pendant tes loisirs.

Le hasard peut te faire bien des farces, donc reste en bons termes avec tout le monde. Oui, je sais, parfois, ce n’est pas évident…

Si la situation se dégrade, mieux vaut partir

La vie en entreprise, ce n’est pas toujours une lune de miel. Si tes relations avec ton équipe ou ton supérieur deviennent de plus en plus difficiles, que tu ne vois vraiment aucune possibilité que la situation s’améliore, et que ça te pourrit bien la vie au (et même en dehors), alors il te faut envisager de partir. Laisser la situation se dégrader ne profitera ni aux uns ni aux autres. Autant chercher un autre poste à l’intérieur de l’entreprise, ou dans une autre entreprise.

Mais tu te souviens : les projets non aboutis sont à garder secrets. N’annonce pas que tu cherches un autre job de façon tonitruante. Quitter une entreprise peut rendre frileux, la perspective de donner sa démission et de perdre ses droits au chômage peut faire peur. Un processus d’embauche peut s’interrompre à peu près à tout moment, même si tu le sens bien depuis le début.

Et parfois, des détails changent : ton équipe ou ton travail connaît une réorganisation, l’équilibre se reforme et ton envie de partir n’est plus aussi forte. Sauf que si tu as crié sur tous les toits que tu partais bientôt, tu auras l’air bien malin ! N’annonce rien trop hâtivement, et garde la face.

Et puis, si tu as un problème sur un point ou un autre, tu pourras toujours venir me voir, petit neveu ou petite nièce ! Promis, je ne cafterai rien à tes parents !

Et toi ? Quelles sont tes relations avec tes collègues ? Fais-tu facilement des économies ? As-tu déjà démissionné ? Viens en parler…

Toi aussi, tu veux témoigner ? C’est par ici !

Relatetd Post

20 Comments

  • Sarah

    24 novembre 2015

    Encore une fois ton article est très juste. Travailler en entreprise c’est vraiment comme à l’école, il y a toujours les petits rigolos, ceux qui n’en foutent pas une, les cafteurs, les premiers de la classe, les beaux parleurs… le plus dur restant à mon sens de les identifier. Mais une fois que tu as compris qui est qui et qui fait quoi tu ajustes ta facon d’agir avec chacun 😉

    • Fleur-Joséphine

      24 novembre 2015

      Oui c’est un peu ça, j’aime bien ton résumé Sarah! 🙂

  • Madame Nounours

    24 novembre 2015

    Je plussoie ton article qui est très juste dans tous les points. Effectivement le monde du travail c’est pas le monde tout rose des Bisounours et il faut jouer la carte du plus mâlin si on veut s’en sortir dans ce monde de requins. Je suis d’accord qu’il faut faire attention de ce qu’on dit de sa hierachie ou de ses collègues car on se sait jamais de quoi sera fait demain. Je me souviens de l’un de mes chefs que j’avais et qui m’avait dit que dans le secteur d’activité dans lequel j’évolue actuellement, tout le monde se connaît et il n’avait pas tord car mon chef actuel le connaît alors qu’ils sont tous les deux dans des régions différentes mais chaque année il y a un congrès qui réunit la profession et c’est là que je retrouve ce que disais mon ancien chef. Il en va de même avec les prestataires avec lesquels je bosse et qui se connaissent tous, c’est un milieu encore plus petit. Pour finir, je suis d’accord sur le fait, qu’on est souvent amené à bosser avec des bouffons et qu’il faut malheureusement s’en accomodé jusqu’au jour où l’on trouve une meilleure opportunité alilleurs. Sinon je rajouterai que si on passe un entretien chez un concurrent de son entreprise actuelle, il ne faut surtout pas dire certaines choses comme l’ambiance pourrie mais plutôt invoqué l’envie d’un nouveau challenge à une autre échelle.

    • Fleur-Joséphine

      24 novembre 2015

      C’est encore plus vrai dans ton secteur apparemment! Ça doit être un secteur bien spécialisé? (Tu n’es pas obligée de dévoiler).

      • Madame Nounours

        25 novembre 2015

        Je bosse dans l’immobilier social ^^

  • Madame Fleur

    24 novembre 2015

    Merci une nouvelle fois pour tous ces très bons conseils.
    J’ajouterai une chose sur les histoires d’entreprise. J’ai l’habitude de dire qu’il y a toujours deux versions de l’histoire. Et dans une entreprise entre collègues ou hiérarchie c’est souvent le cas. Tout n’est pas tout noir ou tout blanc.
    Je dirai également, pour être dans la situation, quand un poste ne te convient plus, il faut en changer ! J’ai un peu laisser trainer en me disant que ça finirait par aller mieux et au final, je me sens embourbée !
    Et c’est beaucoup plus dur de vivre les échecs aux entretiens dans ces cas là.

    • Fleur-Joséphine

      24 novembre 2015

      Oui tu as raison, je n’y ai pas pensé à ça!

  • Mlle Moizelle

    24 novembre 2015

    Oh boy! J’étais déjà atterrée par le précédent article, et celui-là n’est pas mieux. Pour résumer, le monde de l’entreprise « n’est pas rose » comme c’est dit plus haut, et il faut: être hypocrite, lèche-botte, retourner sa veste selon les intérêts, ne pas se livrer, se prendre la tête sur l’avenir et ne pas profiter de l’argent que tu gagnes, ne pas faire confiance, ne pas être soi… Même si je grossis un peu ce que tu dis, je me félicite puissance 4012 de rester très loin de ce monde… Je ne comprends pas comment on peut y trouver son bonheur… Et si tout le monde sait que cela marche comme ça, pourquoi ne pas changer ce qui est pourri? Cela me désole et me dégoûte.

    • Sarah

      24 novembre 2015

      moi j’adore justement pour tout ce que tu cites, j’ai l’impression d’être dans un jeu taille humaine tous les jours 🙂 plus sérieusement bien sur qu’on peut se faire de très bons amis au bureau tous les gens ne sont pas cons ou hypocrite ou leche cul… je pense que l’article avait pour but de mettre en évidence toutes les petites choses auquelles faire attention surtout au début quand on commence dans une boite, dans certaines boites / département il y a plus de requins que dans d’autres et même sans travailler dans une entreprise, il y aura toujours des gens pour ramener la couverture à eux ou pour critiquer notre travail même de façon gratuite, autant en avoir conscience des le début et connaitre des petites astuces pour s’y préparer.

    • Charlotte

      24 novembre 2015

      Haha, merci pour cette réaction! Je dois dire que même si je comprends cette description du monde du travail et de certains profils, j’essaie toujours de garder un peu de fraîcheur et de spontanéité…
      En calculant chacune de ses actions ou paroles, je trouve justement que l’on prend le risque de ressembler à ceux dont on essaie de se protéger et que l’on contribue à reproduire une atmosphère de méfiance alors qu’on la décrie. Au vu du temps considérable que l’on passe au boulot, il me semble important d’agir au boulot comme dans la vie (donc effectivement, je m’abstiens de critiquer ouvertement des collègues avec d’autres… tout comme j’évite de critiquer gratuitement mes amis auprès d’autres, ce qui n’a jamais rien fait avancer), certes avec quelques réserves liées au contexte, simple question d’adaptabilité! Mais je n’évite pas de parler de politique ou de religion avec des collègues par exemple (cf article précédent), je serais personnellement frustrée de devoir étouffer mes réflexions avec des gens que je cotoie une quarantaine d’heures par semaine; tant qu’on s’applique à avoir un peu de bienveillance et beaucoup de respect, ça peut bien se passer!

      • Mlle Moizelle

        24 novembre 2015

        Tu me rassures! 🙂 J’aime ta phrase « En calculant chacune de ses actions ou paroles, je trouve justement que l’on prend le risque de ressembler à ceux dont on essaie de se protéger » qui résume peut-être plus « diplomatiquement » ce que je ressens…
        Même si je sais que tout le monde n’est pas ce qui est décrit dans l’article, je trouve dommage de donner cela comme « modèle à suivre » aux générations qui arrivent. Certains se battent pour apporter plus d’humanité dans le monde du travail (espaces agréables à vivre, temps de siestes, sorties d’entreprises pour créer d’autres types de liens avec les collègues, etc) et ce qu’on lit ici va à l’encontre de tout ça, c’est dommage je trouve. Au contraire, les jeunes, allez-y, bouleversez tout ça, mettez, comme tu le dis, de la gaieté, de la spontanéité, de la fraîcheur! 🙂

        • Fleur-Joséphine

          24 novembre 2015

          Je ne sais pas si ces entreprises qui proposent des siestes etc. sont très répandues… je n’en ai pas encore connu. La prochaine peut-être? 😉

    • Madame Nounours

      24 novembre 2015

      Tout dépend du secteur d’activité et de la taille de l’entreprise dans laquelle on évolue pour adapter sa façon de se comporter. Dans une petite structure, le ton est moins solennel et plus familliale alors que dans une grosse entreprise, il faut adopter un comportement uniformisé car les enjeux sont différents ainsi que les interlocuteurs. De toute manière dans une grosse structure, si tu joue à l’électron libre, tu risques d’être rapidement mis de côté par les autres. Je sais, c’est pas génial mais c’est ainsi que notre société actuelle se comporte.

      • Fleur-Joséphine

        24 novembre 2015

        Effectivement dans les petites structures, c’est différent. C’est vrai que j’ai écrit ces conseils en pensant aux entreprises moyennes et grandes.

        • Plop

          12 décembre 2015

          A mon avis c’est encore plus vrai dans les petites entreprises : Les critiques des collègues ont encore plus de conséquences quand tout le monde se connait.
          Dans une toute petite boite, tu as intéret à supporter les petits défauts de tes collègues car il y a peu de chance que tu puisses te retrouver dans un autre service…

      • Charlotte

        25 novembre 2015

        Pour avoir bossé dans des entreprises très variées (d’une petite structure avec 15 personnes à une multinationale de 60,000 employés…), je pense qu’il est tout à fait possible de rester soi-meme quelle que soit l’entreprise, avec professionalisme certes mais surtout avec naturel! Loin de moi l’idée d’encourager à ‘jouer à l’electron libre’, puisque je cherche justement à ne jamais ‘jouer’ à être quelqu’un que je ne suis pas… Et enfin, « notre société actuelle » comme tu dis, nous en faisons partie donc libre à chacun de changer un peu la perspective…

        • Mlle Moizelle

          25 novembre 2015

          C’est exactement ce que je comptais répondre: la société, c’est moi, c’est toi, c’est nous tous! 🙂

    • Fleur-Joséphine

      24 novembre 2015

      Ouh là, j’ai vraiment écrit ça comme ça?! 😉 bon heureusement que tu n’es pas en entreprise alors.
      Je suis d’accord avec Sarah sur le fait qu’on peut se faire des amis, les codes ou les réserves tombent un peu plus vite quand on ressent une affinité particulière avec quelqu’un.

  • Emma_chan

    24 novembre 2015

    +1 !! je ne l aurai pas mieux dit moi même.

  • Clette

    26 novembre 2015

    Fleur-Joséphine il y a de bons conseils, mais c’est très cliché je trouve. il y a effectivement certains secteurs aussi « coincés » que ce que tu décris mais…. heureusement qu’il existe des entreprises, grandes voire immenses (je pense à ma société de construction dans laquelle je suis ingénieure travaux) qui te laissent être toi même. Si tu donnes ces conseils tels quels à tes neuveux et nièces, ça pourrait carrément les dégoûter ….. En fait on dirait que tu es désabusée du monde du travail ou que tu n’as pas osé t’affirmer dans une société coincée….. j’ai de bons amis, vraiment proches, dans mes collègues. Je m’habille comme je veux (un tee-shirt pokemon si je veux même si je suis cadre !), quand ça ne va pas avec des gens je ne critique pas mais je vais en parler à la personne, en général calmement mais j’ai déjà poussé « ma geulante » et parfois c’est salvateur. Donc non, on n’est pas toujours obligé d’être passif quand des collègues nous *****. Et puis le terme du début : proactif, c’est encore un truc inventé pour nous faire travailler plus tout en embauchant mois …. ça malheureusement je vois que un peu partout on ne remplace pas les départs à la retraire ou les démissions et que les charges de travail se répartissent sur les employés restants …
    J’approuve ta démarche, et je le répète certains conseils sont bons, mais pour moi le plus important c’est de rester soi-même, ne pas s’endimancher pour les beaux yeux du boss si on n’aime pas ça et garder en tête les principes que l’on a, même si ces derniers sont parfois contraires à l’entreprise.

Leave A Comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *

quatorze − 10 =