Avoir un enfant et devenir parent : ce n’est pas toujours simple de se préparer

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avoir un enfant ou être parent se poser les bonnes questions

Devenir parents peut devenir une aventure passionnante et enrichissante. Cependant, cela nécessite beaucoup de préparation et d’engagement pour garantir que l’enfant grandisse dans un environnement sain et stimulant. Dans ce contexte, le choix des mots et leur importance est essentiel pour offrir à l’enfant les outils même dont il aura besoin pour naviguer dans le monde, tout au long de sa vie. Voici donc quelques informations sur la façon dont les parents peuvent encourager le développement linguistique de leur enfant en utilisant le jeu et le langage.

Les objectifs de la communication

Lorsqu’un enfant est bien élevé, il acquiert plusieurs compétences qui lui permettront de réussir dans la vie. Les responsables de l’éducation et les parents ont le devoir de fournir aux enfants les moyens nécessaires pour atteindre ces objectifs. Par exemple, il est important que les enfants apprennent à communiquer clairement afin qu’ils puissent interagir avec les autres et exprimer leurs sentiments. La communication consiste à transmettre des messages aux autres et à recevoir des informations. Pour y parvenir, un enfant doit être capable de maîtriser certains verbes, notamment lire, écrire, comprendre et parler. Il doit également être conscient de son non-verbal et de ses expressions faciales. Ces compétences l’aideront à communiquer plus efficacement avec les autres.

La mise en place du jeu

Le jeu est un excellent moyen d’aider les enfants à apprendre à communiquer. Le jeu est un moyen amusant et ludique d’enseigner aux enfants différentes compétences, telles que la compréhension de base des règles et des principes, la capacité à prendre des décisions et à résoudre des problèmes, et la capacité à intégrer des concepts abstraits. Les enfants peuvent également apprendre à se concentrer, à se souvenir et à s’organiser grâce au jeu. Les jeux peuvent être adaptés aux habiletés linguistiques des enfants. Par exemple, les jeux de société peuvent aider les enfants à apprendre à parler, à se faire des amis et à communiquer leurs pensées et leurs sentiments. Les cartes et les jeux de mots peuvent aider les enfants à améliorer leur vocabulaire et leur compréhension du langage. Enfin, les puzzles et les jeux de mémoire peuvent aider les enfants à apprendre à organiser et à analyser des informations.

Favoriser l’expression verbale

Les parents ont le devoir de favoriser l’expression verbale des enfants. Une bonne façon de le faire est de demander à l’enfant de raconter ses histoires ou de répondre à des questions. Les adultes peuvent également encourager les enfants à partager leurs idées et à expliciter leur point de vue. Il est important que les parents reconnaissent le travail effectué par les enfants pour encourager le développement de la confiance. Les parents et les responsables de l’éducation doivent libérer le potentiel et les aptitudes des enfants en leur offrant des possibilités pour s’exprimer et partager leurs idées. Il est également essentiel de créer un environnement calme et sûr pour encourager l’expression de soi sans jugement ni pression.

Encourager la lecture

Une autre façon d’encourager le développement linguistique chez l’enfant est de promouvoir la lecture. La lecture favorise le développement des compétences linguistiques et le développement cognitif. Elle peut aider les enfants à améliorer leur vocabulaire et leur capacité à comprendre le sens des mots. Lire à voix haute à l’enfant aide à stimuler les sons et les mots. Il est également important de montrer à l’enfant comment identifier les lettres et les mots. La lecture peut être utile pour les enfants à tous les stades du développement linguistique. Les livres sont également une source inépuisable de connaissances et de plaisir. Les parents doivent encourager leurs enfants à lire pour leur permettre d’acquérir des connaissances et de s’épanouir.

Rôle des parents

Les parents jouent un rôle essentiel dans le développement linguistique des enfants. Les parents doivent s’assurer que les enfants reçoivent l’éducation et le soutien nécessaires pour comprendre et communiquer correctement. Ils doivent veiller à ce que les enfants aient accès à des activités qui peuvent favoriser le développement linguistique, comme les jeux, la lecture et le dialogue. Par ailleurs, il est important que les parents encouragent leurs enfants à poser des questions et à participer aux conversations. Les parents doivent également limiter l’utilisation des technologies de l’information et de la communication et fournir à l’enfant un environnement propice à l’apprentissage. Les parents doivent être patients lorsque les enfants font des erreurs et les encourager à persévérer et à apprendre. En conclusion, il est essentiel que les parents soient conscients de l’importance des mots et du langage et qu’ils fournissent aux enfants les outils nécessaires pour obtenir la réussite. Différentes activités peuvent être encouragées pour aider les enfants à développer leurs compétences linguistiques et à s’exprimer correctement. Les parents peuvent aider leurs enfants à apprendre à lire, à comprendre le sens des mots et à s’exprimer verbalement et non verbalement. De plus, les parents doivent encourager l’autonomie et le plaisir de leurs enfants et veiller à ce que l’enfant ait un environnement calme et sûr pour s’exprimer et explorer.

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20 Comments

  • Louise

    6 janvier 2015

    J’aime beaucoup ton point de vue et je suis complètement d’accord avec toi. C’est important de prendre conscience de tout ce qu’implique de devenir parents, un bebe c’est sur que c’est chou mais un jour il deviendra grand et il faut bien le préparer et l’accompagner dans cette vie. De mon côté, j’ai toujours voulu être mère, je ne me suis jamais posée la question est que je souhaiterais avoir des enfants mais plutôt qu’elle genre de maman je souhaiterais être. Malheureusement il ne suffit pas de le vouloir, je ne suis toujours pas enceinte et bebe tarde à venir. Ce qui laisse encore plus de temps pour se préparer mais c’est pas facile. Tout ca pour dire qu’on ne choisit pas tout et que je crois en une forme de destin, parfois c’est l’enfant aussi qui décide de pointer le bout de son nez à des moments inattendus. Mais dans tous les cas devenir parents est un grand chamboulement et il faut se sentir prêt.

  • Mlle Moizelle

    6 janvier 2015

    Entièrement d’accord. Je n’étais pas parvenu moi-même ces conclusions, et je dis plus souvent « avoir un bébé » que devenir parent, mais je crois que je ferais plus attention à présent, car j’aime utiliser les mots justes et tu me les as donnés. j’ai aimé ta réflexion!

  • Mlle Zola

    6 janvier 2015

    Ton questionnement est intéressant, j’ai eu une réflexion similaire lorsque je me suis penchée sur la question.
    Je pense que c’est souvent une fois que l’on « a » l’enfant devant nous que l’on se rend vraiment compte de tout ce que ça implique. C’est bien de se poser la question mais laisser aussi une part d’insouciance et de naïveté aux futures mères n’est peut-être pas un mal…. La parentalité est quelque chose qui se construit avec son enfant, que l’on découvre petit à petit, où l’on tâtonne et où l’on hésite beaucoup. « Vouloir un enfant » est un premier pas vers « vouloir être parent ». Le pas décisif qui permet de se lancer dans la maternité, pour ensuite se lancer dans la parentalité…

  • Magali

    6 janvier 2015

    Parfaitement d’accord avec toi… A presque 30 ans, je hurle (intérieurement) lorsque certainement de mes amies me disent qu’elles ont envie d’avoir un bébé… Même écho que toi, pour moi elles s’imaginent seulement enceintes, en train d’accoucher, baigner leur nourrisson, etc. comme si elles occultaient complètement que ce « bébé » est seulement une étape très courte de la vie d’un être humain… Donc je trouve aussi que ta formulation « devenir parent » est beaucoup plus juste et plus ancrée dans la réalité… Je devrais peut-être leur faire lire cet article… 😉

    • Chat-mille

      7 janvier 2015

      Je crois que c’est sous-estimer (et infantiliser dans une certaine mesure) les personnes qui « veulent un bébé » que de penser qu’elles n’ont pas pris la mesure de ce qu’implique la parentalité. Comme le disait Floconnette, c’est une expression courante, et je crois l’avoir moi-même utilisée plus d’une fois ! Ça ne fait pas pour autant de moi une mauvaise mère (enfin, je crois). J’irai même plus loin : on ne peut pas savoir à l’avance comment on ressentira la parentalité, à quelle point elle sera dure ou facile à vivre et il est à mon sens inutile de vouloir trop se projeter dedans. Il y a des femmes qui ne se voyaient absolument pas mères qui font de fabuleuses mamans, et des femmes qui l’ont voulu toute leur vie et sont complètement perdues une fois leur nourrisson dans les bras. Pour moi, le plus important, ce n’est pas la linguistique (et pourtant j’ai un master de lettres :p), c’est ce qu’on fait une fois que bébé (car, sauf en cas d’adoption, il arrive quand même bébé) est là.

      (bon, par contre c’est vrai que je regarde bizarre ma sœur -sage-femme- quand elle me dit qu’elle veut un « nouveau-né » mais je suis bien certaine que son amour et ses soins ne s’arrêteront pas quand son enfant aura 1 mois)

      • Magali

        7 janvier 2015

        Coucou Chat-mille, oui bien sûr c’est une expression courante, mais ce n’est pas parce qu’elle est courante, qu’on doit tous répéter la même bêtise… 😉
        En outre (je me fais l’avocat du diable là, et je vais pousser un peu plus loin…), je préfère que les futurs parents se posent ce genre de questions avant qu’après ! (même si on a rarement les réponses, mais il parait que le questionnement est le chemin…)

        Sur la question des « mauvais parents », pas de jugement de valeur, je n’ai rien à en dire…

        Concernant mes petites copines, je suis bien sûre qu’elles n’ont pas du tout appréhendé de manière globale la parentalité… Et je trouve ça un peu dommage ! J’espère que ça ne fera pas d’elles de mauvaises mères, à mes yeux ! 😉

        • Chat-mille

          8 janvier 2015

          Je crois qu’on sera toujours en désaccord 😉

          Parce que pour moi, la parentalité, ça ne se prépare pas, ça se vit. Évidemment on peut se renseigner, avoir un « plan d’attaque », de grands principes, mais le quotidien ne ressemble jamais à ce qu’on avait imaginé. Il faut être prêt à changer de vie, ça c’est certain (se préparer à toujours se demander « Qu’est-ce que je fais de bébé dans ce cas ? » et « Est-ce que je peux renoncer à faire ça, même si ça me fait plaisir, pour son bien-être ? ») (je suis la première à juger sévèrement -bien que ce soit mal de juger- les gens dont le nourrisson passe son temps chez un gardien pendant que les parents continuent de prendre du bon temps comme s’il n’existait pas) mais être prêt à devenir parent comme si c’était une sorte d’évolution pokémonique, pour moi ça ne veut pas dire grand chose.

          Donc oui, « avoir un bébé » (sous-entendu dans les pattes), ça me paraît presque plus adapté. Et quand bien même l’expression n’engloberait pas la totalité de ce que ça implique, c’est le propre de la langue que de faire des raccourcis pour gagner en efficacité 🙂

          • Magali

            8 janvier 2015

            Etre prêt à changer de vie…. C’est exactement ce qui leur manque ! Evidemment qu’avant d’avoir un enfant, on ne PEUT PAS tout prévoir et savoir précisément dans quoi on s’engage (même si on a quand même quelques indices…) mais comme tu le dis si bien, il faut être prêt à changer de vie et à SE changer…

  • Emma June

    6 janvier 2015

    Chez nous, on s’est beaucoup questionné avant de devenir parent (avoir un enfant, ca n’a jamais jamais été vu comme ça pour nous). Après beaucoup d’hésitation, on a passé le pas et tout ce que je peux dire c’est que ça change encore plus la vie que ce que j’aurais cru 🙂

  • Sarah

    6 janvier 2015

    Je suis tout à fait d’accord avec ton raisonnement, d’ailleurs c’est bien ce qui me pose problème car je m’imagine très bien mère, mais je ne me vois pas du tout avec un bébé 🙂 malheuresment à part l’adoption je ne vois pas comment ‘échapper’ à la grossesse et les premières années d’un enfant ^^

  • Marie Obrigada

    6 janvier 2015

    Réflexion très intéressante et très juste, merci ! Dans le même genre, je déteste l’expression « faire un mini-nous » ou pire un « mini-moi » car à mes yeux, non l’enfant à venir n’est pas un « nous » ni un « moi » juste lui.

  • Floconnette

    6 janvier 2015

    En résumé, je suis d’accord avec ta pensée. Par contre, je fais moins attention aux termes employés. Je suis maman et quand on a annoncé la grossesse, je ne sais même plus trop ce qu’on disait mais en gros, « on va avoir un bébé » ou « on va avoir un enfant ». Mais dans ma tête, j’allais devenir maman et mon mari papa. Donc disons qu’on pensait bien « devenir parents » et on a attendu d’être à peu près prêts à l’être (bien qu’on ne puisse jamais l’être vraiment, ne sachant pas ce qui nous attend). On a pas fait un bébé parce que machin et machine en on un et qu’il est trooooooop mignon. Même si je reconnais que des fois, ça me faisait envie les bébés des autres, dès que je me posais les questions de base sur mon envie d’être maman les réponses m’arrêtaient net.
    Je pense juste qu’on dit « avoir un bébé » souvent car c’est plus commun comme expression. Par exemple je préférais dire que j’allais avoir un enfant qu’un bébé car en effet le bébé grandit, mais je me voyais mal dire « on va avoir un être humain à vie » lol
    Et pour le « avoir », je dis plutôt « je vais avoir un enfant » dans le sens « je l’aurais dans ma vie » et pas « je l’aurai à moi, ce sera ma possession ».
    Là, j’ai un bébé, qui ressemble déjà à un petit garçon, dans ma vie 🙂
    Et malgré tout, je suis devenue maman, parent, mais j’ai très peur pour le deuxième, car je ne sais pas si je saurai en gérer deux. Pour l’instant, il n’en es tpas question même si je sais qu’un jour ça viendra.

    Et pour tout dire, quand je parle des mes visions futures sur mon fils, on me dit « ohlala mais tu penses déjà à si loin?! », ben… oui…. et ça me paraît normal non? J’ai déjà pensé à l’école, aux crises d’ado, à lui payer son permis, à financer ses études (on aura fini le crédit de la maison avant ses 18 ans!), à lui payer des cours de sport musique ou ce qu’il voudra, aux vacances, et même à son futur éventuel mariage, à ses enfants (oui je m’imagine déjà mamie je suis bizarre!!). Et je ne regrette pas un seul instant ma vie de maman qui est très épanouie car en fin de compte, plus facile que ce à quoi je m’attendais et tellement heureuse 🙂

    • Sarah

      6 janvier 2015

      héhé c’est marrant, je n’ai pas d’enfants mais quand je réfléchi si je suis prête a en avoir un je me projette toujours dans 10 ou 20 ans avec des questions du style ‘est ce que financièrement parlant dans 20ans je serais capable d’assumer des études supérieures’ ou a plus court terme ‘est ce que j’ai envie de consacrer du temps à emmener mon enfant aux match de basket tous les samedis après midi de 14h a 17h?’ et pour moi c’est tout à fait normal d’y réfléchir a l’avance, on ne peut pas se dire on le fait et puis on verra après! personnellement je trouve ca inconscient… quand on s’embarque dans un tel projet de vie il n’y a pas de marche arrière alors autant bien y réfléchir avant 🙂

  • Sabine

    6 janvier 2015

    Le titre m’a fait croire que ce serait un article sur comment élever son enfant dans une famille multilingue ! He hé hé 🙂

  • Margaux

    6 janvier 2015

    Je trouve ton article vraiment très beau et plein de sensibilité. C’est une belle réflexion que tu apportes là, sans jugement ni prétention.
    C’est toujours un plaisir que de te lire.

  • Maman Poule

    6 janvier 2015

    J’ai toujours utilisé le terme avoir des enfants mais pas dans le sens possession. On ne fait pas des enfants pour les garder toute la vie avec soi. J’aime les bébés, les caliner mais j’adore les voir grandir, découvrir le monde, interagir de plus en plus avec nous. Parfois je les imagine ados ou adultes. Je ne comprends pas les personnes qui n’aiment que les bébés et qui se désolent de les voir grandir.

  • Chat-mille

    7 janvier 2015

    (et je crois aussi, pour compléter mon commentaire plus haut, que l’étape « bébé » est très importante dans la construction d’une famille, que c’est en « jouant à la poupée » qu’on prend conscience de sa dépendance vis à vis de nous et que notre amour ne serait pas du tout construit de la même manière si notre enfant était arrivé adolescent dans nos vies… ma fille sait faire de nouvelles choses tous les jours et heureusement, c’est long, ça me laisse le temps de digérer avant de passer à une nouvelle étape ;))

  • Louna

    7 janvier 2015

    Merci pour cet article : j’aime beaucoup la manière dont tu présentes les choses.

    En ce qui me concerne, je crois que j’ai toujours fait la différence, même si je n’avais jamais mis de mots dessus. Merci de m’y avoir forcé, ça fait du bien !

    J’ai toujours voulu être une maman, et très tôt j’ai eu envie de voir mon compagnon en papa.
    Cependant, pendant quelques années, j’étais également consciente que malgré mon envie d’être enceinte, je n’étais pas encore prête à être maman.

    Mais je suis également d’accord avec Chat-mille qui dit que c’est finalement au jour le jour que tu te construis en tant que parent : tu as beau essayé de te projeter, rien ne te prépare à ta réaction une fois le moment venu. D’où l’importance de partager avec le futur papa le temps de grossesse pour se préparer à deux à commencer cette drôle d’aventure, d’où l’importance de la phase toute petite enfance, où on t’explique que ton enfant n’a pas encore conscience qu’il est une personne séparée de toi (c’est là que tu te rends compte que pour toi, c’est pareil, dans les toutes premières semaines, tu n’as pas non plus conscience que vous ne faites plus qu’un, le choc !).

    Il ne faut pas confondre la parentalité de nos rêves avec la réalité, mais entre le temps d’attente pour être enceinte, le temps de grossesse et les premiers mois, je crois que j’ai eu le temps de réaliser.
    Et puis, mon bébé ne ressemble tellement pas à ce que j’avais imaginé, que ça m’aide à ne pas confondre ! 😉

  • Sarah

    8 janvier 2015

    Magnifique article. Il pose la réflexion exactement la ou elle devrait être. Merci pour ce très beau témoignage

  • Cilou

    13 juillet 2017

    je voulais un enfant depuis petite c’était logique ca coulais de source. une fois devenue maman par « accident » (je deteste ce terme) j’ai réalisé a quel point vouloir un enfant et etre pret a la parentalité sont le pole nord et le pole sud. un article simple mais tellement vrai car la nuance entre vouloir avoir un enfant un conjoint une famille ou Etre une épouse une mere etc c’est tellement different en maturité et conscience de la mission que ca represente! voila pourquoi beaucoup dechantent apres un mariage ou une naissance… courage a toute vous pouvez inspirer les autres et leur offrir de bons declic pour une vie plus responsable et préparée 😉 plus zen et ca n’a pas de prix

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